Les activités du mois de Novembre 2012

Vous trouverez ci-dessous nos activités du mois novembre…

Visite mémorielle des cimetières de Dalhem

Le samedi 3 novembre a 14 h. Rendez-vous a l’ancien cimetière, à  coté de l’église.
 
 

Samedi 10 novembre, voyage en train et visite de Leuven

Ville martyre, ville patrimoniale.


[box type= »info »] Rendez-vous à la gare de Visé à 9 h. pour prendre le train pour Liège, où se fera le départ vers Leuven. (Possibilité aussi de nous rejoindre à Liège Guillemins).
Arrivée à Leuven à 10 h.33 où nous irons à la découverte d’une ville universitaire quasi millénaire.
Départ de la gare de Leuven à 18 h.27 et arrivée à la gare de Visé à 19 h.34 PAF de 31 € pour le membre et de 34 € pour le non membre (voyage A-R en train, guidage, entrée, verre final).
Si vous avez un titre de transport, celà ne vous coûtera que 18 € (membre) ou 21 € (non membre) . Paiement avant le 7 novembre au compte habituel 340 – 0275872 – 42 avec mention «Louvain». Sinon en cas d’inscription tardive téléphoner au 0495496391 [/box]

Site de la ville de Leuven

 [learn_more caption= »En savoir plus sur la visite ! »] Bonne nouvelle, ce sera Mark Derese, archiviste à l’université qui nous guidera en cette fin de matinée pour nous rappeler les lieux et les événements qui se sont déroulés en août 1914 et qui ont conduit à la perte de la bibliothèque générale de cette université séculaire.
Il y eut des destructions, des tueries et des déportations. Après le repas de midi pris dans le centre ville, un guide que les autorités communales de Leuven nous ont octroyé (Merci à M.Louis Tobback et à son échevin du Tourisme Dirk Vansina) nous fera une balade de deux heures qui vous fera découvrir les principaux monuments de la ville : la Grand place sur laquelle trônent l’hôtel de ville et l’église Saint-Pierre (15e s.), deux oeuvres de l’architecte Mathieu de Layens, véritable genie du gothique brabançon. Les nombreux bâtiments universitaires et les charmants recoins de la ville valent eux aussi le détour. Une visite de Leuven ne serait pas complète sans un arrêt au Grand Béguinage, classé au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1998. L’ensemble couvre une superficie de 7 ha.
Enserré par les bras de la Dyle, il a préservé 72 maisons ornées de fenêtres à meneaux. Cet ensemble égayé de puits, fontaines et statues est devenu une résidence universitaire, mais les édifices non occupés se visitent. Et en toute fin de visite, ce sera Le M. Museum (anciennement musée Vander Kelen-Mertens), ancien collège de Savoie du XVIIIe siècle; nouveau bâtiment conçu par l’architecte Stéphane Beel. La ville sera donc visitée sur deux axes : la tragédie d’août 14 qui fit de Leuven la ville belge martyre la plus connue au delà des océans et son patrimoine architectural.[/learn_more]
 
 
 

DIMANCHE 11 novembre à 11 h. : heure du conte REPORTE A 2013.

NOTEZ-LE BIEN 

(CINQ heures du conte sont prévues en 2013 et seront bientôt annoncées)  

 
 
 

Vendredi 16 novembre à 20h : Conférence d’Axel Tixhon

“L’invasion allemande en août 14, un mois tragique” 

[box type= »info »] Paf de 3 € Membre et de 4 € non Membre[/box]
[learn_more caption= »En savoir plus sur la conférence ! »] A deux ans des commémorations du centenaire de la Grande Guerre, nous avons invité le professeur d’histoire contemporaine à l’université Notre-Dame de la Paix de Namur, Axel Tixhon, qui coordonne les textes scientifiques des 7 villes martyres de la Grande Guerre. Voici le résumé que ce jeune professeur nous a envoyé Bien que généralement connue, l’histoire des journées tragiques d’août 1914 en Belgique a été récemment éclairée par de nouveaux travaux. Ceux-ci émanent en particulier de chercheurs anglo-saxons (John Horne, Alan Kramer, Jeff Lipkes, Thomas Weber).
Ceux-ci proposent de nouvelles hypothèses pour expliquer le comportement des troupes allemandes durant l’été 1914. Ils expliquent aussi comment les récits évoquant les «atrocités allemandes» ont été reçus à travers le Monde et comment ceux-ci ont été l’objet d’une grande suspicion après la fin de la guerre. L’exposé replacera donc la présentation des faits de violence commis par les armées d’invasion dans ce contexte ainsi que l’évolution des discours rappelant ces événements au cours du siècle qui nous en sépare.[/learn_more]
 
 
 
 

La vie festive en Basse-Meuse

 
[box type= »info »] Du 23 novembre au 23 décembre : exposition au musée régional. L’exposition sera ouverte tous les jours du mardi au dimanche (fermeture cependant lors du marché du livre des 16 et 17 décembre).[/box]
Comment illustrer ce magnifique patrimoine immatériel qu’est la vie festive en Basse-Meuse, si ce n’est au moyen d’images et de sons ?
[learn_more caption= »En savoir plus sur les activités et l’exposition ! »]
Quelques données sur panneaux illustreront bien entendu le contexte de ces festivités, des scénographies aussi pour se mettre dans l’ambiance Mais surtout nous présenterons grâce à l’aide de la fédération Wallonie-Bruxelles plusieurs films sur la carnaval –vallée du Geer en particulier -, dont celui des Houres, les fêtes de quartiers tant des deux rives avec les gestes traditionnels, les cramignons et les défilés, les fins de fêtes mais aussi les décapitations de l’oie (et du coq).
Les fêtes des compagnies visétoises sont aussi d’autres éléments majeurs du patrimoine immatériel avec ses rites et traditions séculaires. Et nous n’oublierons pas aussi les quelques processions religieuses de notre région. Merci à Marc Lacroix (vise.tv) et à son assistant ainsi qu’à l’atelier vidéo du centre culturel de Berneau (M.Spapen et son équipe) et à M. Jacques Hardy ainsi qu’au musée de la vie wallonne, d’Eben et des 3 Gildes. [/learn_more]

 
 
 

CONFÉRENCE DE FRANCOISE LEMPEREUR :

“Les TRADITIONS FESTIVES de la Basse-Meuse liégeoise”

[box type= »info »] VENDREDI 30 NOVEMBRE à 20 H.

P.A.F. de 4 €    (Réduction à3 € pour les membres). A la salle n°5 du centre culturel de Visé, rue du Collège, 31 à Visé. [/box]

« La Basse-Meuse se démarque parmi les sous-régions wallonnes par la richesse et l’ancienneté de ses traditions festives. Certes, elle ne présente pas à un tourisme international de grands carnavals ni de ducasses spectaculaires comme dans le Hainaut mais elle a conservé quantité de pratiques anciennes liées au calendrier traditionnel : processions avec reposoirs et tirs de campes, décapitations de l’oie ou du coq, branles, gasts et crâmignons liés à des « partis de couleurs », feux de la Saint-Martin, etc.  A  Visé, les rues de la ville résonnent régulièrement du son des tambours et des harmonies. Ce sont les gildes, on le sait, qui rythment le cours de l’année avec un agenda bien garni de célébrations en tout genre : processions, messes, tirs, banquets, bals, défilés… Durant un peu plus d’une heure, Françoise Lempereur, titulaire des cours de patrimoine immatériel à l’Université de Liège, reprendra chacune des pratiques qui se succèdent de janvier à décembre,  en s’efforçant de les dater, d’en expliquer l’origine et de les replacer dans un contexte géographique plus large, notamment en les comparant aux traditions de nos voisins néerlandais, fouronnais ou allemands.  La conférence sera illustrée par des vidéos et des photos récentes.